gobelet

Se retrouver à montargis, alterner fous-rires et frustration pendant deux heures. Cette schizophrénie passagère explique sans doute pourquoi je me retrouve à avouer tout de go qu'un jour, plus sobre que jamais, j'ai mangé un filtre. La soirée se déroulera dans une maison à poutres apparentes transformée en refuge pour chiens à l'occasion, et sera rythmée par les « j'ai faim, passe moi un filtre » d'un sweat rouge bien trop drôle pour mon cerveau en bouillie.
Le lendemain, entre un anagramme et un abécédaire, citer j. avec un aplomb alarmant, et perdre le sourire devant cette facétie de ma mémoire sélective. Parce que si je suis incapable de me souvenir du titre de la chanson que j'ai écouté ce matin, restituer au mot près une phrase lue il y a six mois, c'est possible. Trop désespérée pour chercher une explication, je le deviens plus encore en constatant que je suis en présence de trois bipèdes trop intoxiqués pour comprendre que quand je dis « j'ai l'impression d'être avec j. », c'est un des plus beaux compliments que je puisse leur faire. 

Lundi 21 novembre 2011 à 22:07

Développe ton style

Par baillements le Lundi 28 novembre 2011 à 13:31
c'est beau comme un kebab payé par mamat.
 









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